Entretien avec Amélie Nothomb (1)
marzo 1, 2013 in Traduzioni da admin
Amélie Nothomb, écrivain belge francophone, fille de diplomates, est née en 1967 à Kobe, au Japon. En 1992 elle publie aux Edition Albin Michel son premier roman, Hygiène de l’assassin, qui devient l’événement littéraire de l’année: 100.000 exemplaires vendus (en plus des 125.000 copies pour le roman poche), deux adaptations théâtrales, un film. Depuis cette époque, elle a publié un roman par an, fidèle au même éditeur Albin Michel. En Italie, les livres de la Nothomb sont traduits et publiés par la maison d’édition Voland (Rome). Son roman Stupeur et tremblements, publié en 1999, a vendu 400.000 exemplaires en France. Traduit en 15 langues, il a reçu 16 récompenses dans le monde entier, y compris: le Prix Alain-Fournier (deux fois), le jury du prix Jean Giono, le Prix du Roman de l’Académie Française, le prix Chianciano.
Depuis son premier roman, Amélie Nothomb montre les mêmes caractéristiques d’écriture : un regard impitoyable, beaucoup d’humour, des histoires originales. Ecrivain prolifique, elle écrit en moyenne quatre livres par an, mais, pour son choix, elle n’en publie qu’un seul. Dans ses romans on trouve facilement des traits autobiographiques : le séjour au Japon, le travail dans une multinationale, l’amour trouvé et perdu, la boulimie. En effet Amélie Nothomb a dit dans une interview que c’est l’écriture qui l’a sauvée.
Q: Pouvez vous nous faire entrer dans votre laboratoire créatif?
R : Impossible : is est un sous-marin au fond de moi-même
Q: A qui vous conseille d’écrire?
R: A’ personne.
Q: Que pensez-vous est due à son succès?
R: Sur un malentendu.
Q: «Je vous écris parce que l’écriture me donne le plus grand plaisir artistique que possible.Si mon travail quelques privilégiés ont gratifié délice. Quant à la masse je n’ai aucune envie d’être un romancier populaire. Et «trop facile». (Oscar Wilde)
Que pensez-vous?
R: Il existe trois phrases dans cette brillante déclaration. La première est vraie, les autres sont de beaux mensonges.
Q: Hygiène de l’assassin, son roman le plus célèbre, le lecteur est surpris par la crudité des dialogues, le «mauvais» intériorisé, ventilés sur les pauvres journalistes. Le protagoniste est son désir de vengeance sur un monde (les chiffres représentent la totalité des journalistes) qui ne comprennent pas ou ne comprennent pas. Tous avec un horrible secret qui est révélé seulement à la fin. Dans les livres ultérieurs, il est facile de voir son autobiographie, ni Eve ni d’Adam ou de sabotage sont un exemple de l’amour.
Quel est autobiographique dans Hygiène de l’assassin?
R: C’est mon livre le plus autobiographique: mon manifeste et ma biographie programme littéraire.
Q: Dans Journal d’Hirondelle écrit: «Qui se sent glisser dans l’élégie devriez garder rapide pour son corps sec et austère.”
Et ‘accusation selon laquelle le poésie? Pourquoi?
Avez-vous écrite de la poésie?
R: Jamais. Ma manière de couliura la poesie c’est l’assasinat
Q: Beaucoup de gens écrivent, mais le garder pour eux-mêmes leur propre écriture. En Italie, le «peuple de saints, des poètes et des navigateurs” tiroirs sont pleins, mais les gens qui lisent peu. Il arrive aussi en France.
Qui est responsable?
R: Vous présentez cela comme un mal : c’est très bien.
Q: Vous avez déclaré que : « Un vrai lecteur est celui qui se baigne tellement dans la lecture d’une texte a en sortir changé, quelqu’une qui se pose par rapport au livre dans un état de disponibilité profonde ». Tach se pleint de n’avoir personne qui le lit « vraiment ». Vous croyez avoir changé certain de vos lecteur ?
R: Oui. Surtout ceux qui, après m’avoir lu, tuent leur voisin.
Q: Dans la Cause de Dieu, nous parlons d’identité et de son vol.
Avez-vous déjà pensé que vos lecteurs peuvent perdre leur identité tente de devenir un personnage dans Amélie Nothomb Amélie, si pas la même chose?
R: C’est arrivé beaucoup de fois.
Q: Vous avez mentionné le groupe Radiohead dans le Journal d’hirondelle et compare l’opéra italien pour les émotions transmises, ce qui nous rend très heureux.
L’opéra se termine souvent en tragédie, et souvent les bons meurent. Il peut y avoir une analogie entre la fin du mélodrame et la fin tragique de ses livres?
Quelle est votre relation avec la musique classique?
R: Tous mes livres sont pour le mélodrame tragique. Quelle est ma relation avec la musique classique? Lisez mon nouveau livre: Le Voyage d’hiver.
Q: Dans vos romans, cite de nombreux livres. Littérature, qui brûlent les livres et ce qui serait sauvé? Pouvez-vous nous donner au moins trois titres pour chacun?
R: Pour la gravure: aucun. Les mauvais livres sont nécessaires. Pour enregistrer: Don Quichotte, La Princesse de Clèves, Le Rouge et le Noir, Les Liaisons dangereuses, Le Portrait de Dorian Gray, Si c’est un homme.
Q: Dans Le Portrait de Dorian Gray, l’identité et l’âge du personnage restent inchangés ..
L’écriture est le miroir d’Amélie ou un filtre?
R: Il est le miroir le plus sincère et honnête.
Q: L’écriture est Amélie ou de son péché?
R: Mon écriture est mon péché.
Q: Il me semble que le motif de ses romans est la suivante: la transgression – la mort – coupable. Il a déclaré que ce sont souvent les victimes et les auteurs en assument la responsabilité. Mais pourquoi ne pas les coupables?
R: Parce qu’ils ne sont jamais un sentiment de culpabilité.
Q: Dans la combinaison de la Cosmétique ennemi reprise coupables d’arrogance. C’est parce que, selon elle, l’écriture est en soi un acte criminel et les mots sont les armes les assassiner. Pourquoi ne pas essayer de guérir?
R: Parce que c’est un plaisir trop grand.
Q: Dans vos livres, toujours l’amour comme une figure passion exaspérée qui mène à la destruction de l’objet aimé. La haine, en revanche, ne semble pas être tout aussi destructrice d’une passion …C’est une Nothomb paradoxe classique?
R: Oui
Q: Le paradoxe est présent dans ses écrits, comme une partie de leur philosophie et contradictoires. Et ‘échelle exagérée dans la provocation de la frontière que vous pouvez voir sa poétique?
R: Absolument. Il s’agit d’une aporie poétique.
Q: Toucher les extrêmes que vous obtenez au centre?
R: Oui, mais en même temps, montrant l’ensemble.
Q: Ses thèmes sont la mort, la relation avec l’ennemi intérieur, l’obéissance, la guerre, la faim, la survie même, mais aussi la poursuite de l’ancienne pureté intérieure.
Il ya des thèmes forts, mais qu’elle fait face de façon légère.
C’est la clé pour raconter ces questions?
R: Certainement. La légèreté est le seul moyen.
Q: «Les hommes se révèlent être cruel, mais les femmes le sont. Les femmes semblent sentimentale, mais les hommes le sont. “ Friedrich Nietzsche avait raison?
A: Nietzsche a toujours raison.
Q: Dans plusieurs interviews que vous avez dit de ne pas utiliser le PC, téléphone, e-mail. Pourquoi rejeter la modernité?
R: Parce qu’ils sont préhistoriques.
Q: Métaphysique des tubes, le refus est la preuve de l’existence même. N’étant pas on est.
Et ‘nell’acconsentire vous perdez une partie ou la totalité d’eux-mêmes? Pourquoi?
R: Le consensus est une perte de soi.
Q: Il a dit: “Je pense que dans la vie vous décider entre ces deux modes d’acquisition de l’identité. Si vous êtes le produit de la découverte de soi, ou le produit d’une «invention».Mais la découverte et l’invention ne sont pas synonymes?
R: Seulement dans les yeux de la loi.
Q: Il n’est pas dans la conscience de sa propre identité que vous achetez?
R: Oui, mais ce n’est pas incompatible avec ma théorie.
Q: Biographie de la faim revient reflété le thème de la mort, mais le manque de sentiments: c’est stériliser la langue que vous pouvez blesser le joueur?
R: Ça fait mal dans le monde avec cette stérilisation.
Q: Si vous deviez définir en bref comme un écrivain, comment définiriez-vous?
R: Je vous écris de l’ornithorynque
Q: Quel est-il au sujet de son dernier livre, Le Voyage d’hiver?
R: Dans la lutte entre le froid et la chaleur.
Q: L’amour entre deux femmes est-ce possible?
R: Oui
Q: Avez-vous fait des choses folles par amour?
R: Oui
Q: Il dirait à un?
R: Non
Q: Le thé vert est trivial?
R: Oui
Q: «Certains livres sont dégustés, d’autres avalés, mâchés et digérés quelques-uns.”
(Francis Bacon, 1561-1626). Ceux qui, à mâcher, sont ses livres!
R: Je suis d’accord. Mercie.
Nous remercions l’éditeur de la disponibilité de Rome Voland reçues.
Dans Luc